Lewis Niklaus[Terminé]

Nom :Niklaus

Prénom :Lewis

Race :Humain

Âge :21ans

Une flamme instable dans un cocon noirâtre et vil. :


Une ombre massive se meut à travers nuit tel un félin affamé, tel un monstre un soir de pleine lune attaquant sa proie. C'est au détour d'une lumière artificielle qu'un visage fend l'obscurité. Un visage livide, pâle comme le linceul et si peu chaleureux. Des joues légèrement creusés sans raison et ses yeux qui me fixent. On pourrait croire que comme le corbeau il aurait les yeux aussi sombres que le gouffre sans fin, mais non. Ils sont incandescents et si dorés s'en est incroyable. Un regard perçant comme une flèche en plein coeur et qui se veut vorace avec n'importe qui. Des iris qui semblent aussi carnassiers qu'une bête sauvage et qui vous dévorerait sans aucune pitié. Je pus également constater quelques veines apparentes, cela me donnant milles question sans réponses bien évidemment. En descendant mon regard je pus observer un nez à l'arête sèche et qui laissait entrevoir en le suivant une bouche si étrange. Pas de lèvres biscornues ou encore des dents ayant quitté le navire, non mais d'étrange cicatrice peu profonde à chaque extrémité. Elles me faisaient alors m'imaginer de si douloureux supplice que je préférais me les retirer de la tête et continuer à l'observer. Se mettant encore plus dans la lumière je pus voir ses cheveux. Ils étaient en bataille noirs comme le jais et ne dissimulant pas la totalité de son oeil droit. Comme pour terminer ce visage un menton légèrement pointu était présent. Son cou massif et les muscles que je pouvais apercevoir de sa chemise ouverte laissaient penser qu'il n'était pas un frêle personnage.

Quand il prit place sur le banc je pus enfin le voir de façon plus globale. Il avait à chaque main une sorte de mitaine aussi sombre que le reste du personnage qui les portait. Elles comportaient une sorte de pierre précieuse étrangement rouge malgré la lumière, mais il m'était impossible de les identifier. À vue de nez sans aucune connaissance je pensais à des rubis. Je pus mieux voir son gabarit étant donné qu'il se trouvait maintenant assit entre une femme fine et petite et un homme grand et assez imposant. Pourtant, l'homme ne paraissait pas si énorme par rapport à l'inconnu lugubre. À vrai dire l'homme massif paraissait même plus petit et d'un gabarit à peu près égale. Connaissant vaguement l'homme bourru, je pus donc en conclure que l'inconnu mesurait facilement plus d'un mètre quatre-vingt-dix et devait faire plus de quatre-vingts kilos. En d'autres termes cet homme n'avait vraiment rien de rassurant.

Les textiles qu'il portait sur lui se résumait malgré la fraicheur de la nuit à une chemise ouverte jusqu'aux pectoraux, un pantalon noir de cuir et des chaussures sombres, mais arborant les mêmes pierres que les mitaines. Il ne semblait pas être très friand des habits chauds. Il semblait se déplacer comme un spectre, comme un être fait d'une noirceur aussi grande que Thanatos dieu de la Mort.


Humain mais si démoniaque :

L'apparence est parfois trompeuse, mais pas tout le temps. Ce regard qu'il avait si perçant est carnassier est à vrai dire justifié. La douceur n'est pas ce qu'il aime...quoi ? ! Mais AAAAAAAAH*Silence total*...

Je hais quand on me décrit, stupide avorton laisse-moi faire. Je ne suis pas la douceur incarnée comme il a pu si peu vous l'expliquer. Mon regard et mon visage ont de la mort une lointaine ressemblance. Je ne peux porter dans mon corps ses ridicules et chétifs humains donc je dois à contrecoeur faire partie. Si seulement je pouvais être un Inferno. Ces créatures sont insondables incandescentes et vouent une haine et une violence sans égales. Hélas je dois me résoudre à ce corps aux capacités physiques si minime et que je méprise. Heureusement elles sont compensées par ma magie. Si vous pensez que je suis un adorable et docile être humain vous vous fourrez le doigt dans l'oeil jusqu'au coude croyez-moi. Je ne suis rien de la tendresse ou encore de la compréhension. Si je devais être décris mentalement en plusieurs mots ce serais les suivant.

Impulsif est tout d'abord le mot qui me vient en parlant de moi. Tout comme les flammes que je contrôle et qui naissent au creux de mes mains, je suis incontrôlable et dangereux. Ne pensez pas une seule seconde qu'une de vos gentilles blagues me fasse ciller ou encore sourire. Au contraire elles me donneront une meilleure raison de vous mettre mon poing en plein figure sans préavis. Ne vous avisez pas non plus de me chercher trop longtemps au risque quelques sois votre niveau et dont je me fiche totalement de recevoir une droite enflammée dans la tronche ou encore mon pied ardent au derche compris ? !
Le second mot qui me définirait sera sans aucun doute Agressif. Je ne suis pas né dans un monde de bisnonours et je n'aurais aucunement envie de vous prendre dans mes bras avec gentillesse pour vous faire un câlin...beurk...j'ai envie de gerber rien que d'y penser. Je préférerais au contraire vous mettre tellement de gifle et de coup que des larmes perleraient bien vite sur votre visage. Et vu que mon agressivité va de pair avec mon impulsivité évitez de jouer avec le feu, car vous risquerez de vous bruler.
Je ne peux pas nier le fait de prendre un malin plaisir à faire souffrir qui conque me cherche de trop près. Je suis Sadique et je ne m'en cache pas. Voir la souffrance sur votre visage, la peur dans vos yeux et que j'instille en vous tel un poison ou encore vous entendre gémir de douleur et me supplier j'adore ça. Après tout pourquoi ne pourrais-je pas me délecter de vous voir inférieur faible et à mes pieds ? Je ne suis pas votre allié à part si vous être un Asméens. Si vous êtes l'un des leurs il se pourrait qu'une discussion soit éventuelle mais je ne promets rien.

Si les câlins me répugnent c'est tout simplement, car je ne suis pas Tactile. Prendre les gens dans mes bras, leur faire la bise ou encore serrer la main de quelqu'un ce n'est pas pour moi. Le contact entre humain ou autre race n'est pas une chose que je peux cautionner. Nous sommes dans une guerre après tout pour avoir ses fichus amulettes ou en faire au contraire des miettes. Alors, pourquoi devrions-nous pactiser avec ses immondes nains ou encore ses chétifs et si affligeant elfes ? Hein pourquoi ? !

Je vous parle, mais je ne devrais pas. Je ne suis pas quelqu'un qui parle si souvent je préfère être Distant sans aucune douceur et qui ne pense pas aux autres. Tout pour ma gueule comme on dit, bah voyez-vous ça me va amplement. Je n'ai pas envie de devoir me coltiner des idiots sans cervelle qui me parle de sujet bateau et ennuyeux non si je participe à un dialogue se sera pour un but précis, rien de plus rien de moins.

Mes seuls point disons positifs qui me permettent de me fondre tout de même dans la masse et qui ne me font pas passer totalement pour quelques d'asociales ne sont pas nombreux.
J'estime et je m'en vante même d'être fait de façon assez parfaite. Un corps dompté par la force, un visage impitoyable. Je joue de mon apparence pour m'occuper quand l'ennui vient. Une stupide donzelle sans utilité en aura une avec moi pendant disons une nuit rien de plus. Oui je ne vais pas m'enticher de quelqu'un bien longtemps juste de quoi m'occuper je vous l'ai dit. Calculateur, manipulateur et dragueur.
Calculateur, car j'aurais toujours comme aux échecs un coup voir deux d'avance sur vous, sans que vous ne puissiez rien changer. Manipulateur, car j'userais de mes charmes et de mes capacités pour faire de vous de stupide marionnette à mes ordres. Hélas cela ne marchera pas toujours j'en conviens. Sans oublier dragueur, je ne serais pas un Don-juan ni un coureur de jupon qui passe sa vie plus dans son lit qu'ailleurs. Non je saurais, quand il faut et où il faut profiter de ses plaisirs charnelles sans égales. J'imposerais tôt ou tard ma marque en vous. Et pour toi si c'était demain ?


« Tu es né sans avoir été voulu et tu deviendras un monstre... »:

L'insouciance devenant guerrier.

Tel un abject déchet qu'on jette, je suis né. Je n'étais que potentiellement voulu, car ma mère voulait un enfant, mais hélas il devait être une fille. Je faillis me surnommait Nastasia mais heureusement mon père eu une meilleure idée. Il me sauva d'un nom si répugnant que cela me donne envie de vomir rien que d'y penser. Lewis, c'est ainsi que je me prénommais pour toujours. Ma vie était tranquille, sans aucun problème, mais des questions restaient sans réponse dans mon jeune crâne d'enfant. Pourquoi ces parents qui m'avaient mis au monde me cacher tant de choses et me cloîtrais parfois plusieurs jours dans ma chambre ? !
Étais-je si peu aimé ? ! Ce qui me laissait me poser tant de questions c'était ces nombreuses équinoxes qu'avait ma mère, les écorchures sur le visage de mon père et les cris que j'entendais parfois. Comment, bon sang j'aurais pu être un enfant doux et aimant quand ma vie se résumait à des portes closes des cris et de la solitude ? !

Au fil du temps je pus de plus en plus sortir de ma chambre et voir « le monde ». C'est à partir de ce moment-là que je compris pourquoi mes parents étaient dans un tel état. Chaque soir, depuis de nombreuses années un immonde et répugnant orcs venait les effrayer et leur soutirer de l'argent. J'ignore si ce jour-là j'eus un élan de folie, ou d'héroïsme, mais je m'attaquai à cette immonde chose verdâtre. Prenant la première chose qui me venait à la main c'est-à-dire un tisonnier je lui sautai au visage sans prévenir et lui asséna un coup dans l'oeil gauche. Cela n'eut pas l'effet escompté. Au lieu de l'effrayer ou de l'affaiblir je ne fis que l'énerver. Me faisant poursuivre par cette chose affreuse vers l'extérieur je courus du mieux que mes jambes me le permettaient. Hélas cette créature avait le dessus sur moi, il était plus grand, plus fort et avait de plus grandes enjambées. Plus je courais plus je me rendais compte que ma dernière heure arrivait à grands pas. Face à moi il n'y avait qu'une falaise. Soit je sautais sois il me tuait c'était aussi clair. Le laissant me rattraper, je sautai sans hésitation et dans sa grande stupidité il fit de même. Dans la nuit, deux corps de gabarit différent chutèrent du haut de la falaise. L'un s'accrocha avec mal à une longue racine pendant avec lassitude de la roche et l'autre continua de chuter sans pouvoir s'arrêter. J'aurais pu observer le corps de la bête s'écraser lourdement sur les rochers en contrebas, mais je préférais remonter avec difficultés pour retrouver la terre ferme. Ce ne fut pas simple et plusieurs fois je redescendis de plusieurs dizaines de centimètre sur la racine, mais elle tenue bon. Aujourd'hui j'avais indirectement tué un être qui d'une main aurait pu me tuer et jeter mon cadavre comme un débris ou encore me dévorait de ses dents moisies. Boitant légèrement et à bout de force je retournais chez moi. Je faisais tellement pitoyable dans cet état...C'est devant des yeux crédules et comme si rien ne s'était passé que moi, Lewis victorieux de cet ogre alla dormir à point formé. Ce n'est que le lendemain que je pris plus d'assurance et entama mon enfance en cherchant la bagarre à tords et à travers. La vie continuait sans aucun changement à part la vieillesse qui se dessinait d'année en année sur le visage de mes parents.

Quand on bascule dans le sadisme.

Quelques jours après ma majorité alors que des coups frappèrent à la porte j'aperçus en descendant les escaliers une grande femme postée à l'entrée de cette dernière. Ses cheveux d'un gris argenté, sa grande stature qui dépassait celle de mes parents et son armure de saphir et d'or me mirent dans un étonnement total. D'elle se dégageait une aura à la fois maléfique et qui m'attirait. Elle semblait être une rose dont les piquants étaient aussi tranchants qu'une lame aiguisé. Portant un regard doux malgré son apparence vers mes parents elle leur dit alors :

« Je me présente, je suis Anashi Loan, guerrière des Asmaéens, je cherche des hommes forts et sans aucune peur pour m'épauler. »

Mes parents la fixèrent sans un mot à la fois apeuré, mais aussi impressionné face à la grande femme. On dit souvent que la vérité sort de la bouche des enfants et que leurs insouciances leur évitent mille parjures sauf que moi je n'étais pas pareille. Comme si de voir cette femme si désirable, mais aussi inaccessible m'attirait j'avançai à la hauteur de mes parents. Depuis le temps j'avais changé, mes cheveux qui, enfant était bien coiffé et lisse se dressaient maintenant en bataille sur mon crâne. Mes iris étaient devenus aussi perçant que la flèche et ma corpulence avaient pris en muscle. Je ne sus si c'était mon arrogance, mon charme ou tout simplement ma phrase qui fit sourire Anashi.

« Anashi, je veux en être ! Je me lasse de cette vie monotone et sans aucun intérêt. Je veux me battre coûte que coûte, contre ceux qui oseront me défier »

A la suite de ma phrase les hommes derrières elles se mirent à rire tous en coeur. Puis quand elle ouvrit la bouche se turent d'une seule voix.

« Alors, comme cela un enfant de paysan qui se pense fort, arrogant et impitoyable veut être de mes soldats hein ? Nous verrons bien ce qu'en pense le Seigneur Lionel. »

Au nom de cet homme mes parents firent tous deux un pas en arrière et tremblèrent. Je me tournais vers eux sans comprendre et soupira. Je réfléchissais longuement me demandant où j'avais bien pour entendre ce nom. Puis le souvenir me revint. Lors d'un repas, quelques heures avant ma majorité, mon père m'avait parlé des différents clans qui coexistaient sur notre terre. Il m'avait parlé des Trois clans. Tout d'abord, il y avait celui d'Esea. Il m'avait expliqué » qu'après le cataclysme ils avaient eu pour mission de protéger les amulettes. Ensuite il y avait le clan des Asmaéens dont faisait partie Anashi... et Lionel ! Mais bien sûr il était le seigneur de ce clan. Sans oublier les neutre appelé le clan de Elven. Secrètement je n'étais ni pour protéger de vulgaire amulette ni être gentil je voulais me battre faire du mal et surtout être fort. Me retournant vers Anashi je lui dis alors.

« Amène moi à ton seigneur je n'ai pas peur, je veux être des Asmaéens. »

Cette phrase eut trois effets, celui de faire apparaitre pour la première fois ma vraie nature résumait par mon sourire sadique, mon regard agressif et surtout ma détermination. Elle fit aussi tomber en larmes ma mère et jurer mon père. Ils ne devaient pas s'attendre à ce que je deviennes allié des « méchants » et honnêtement je m'en fichais royalement. Il m'avait mis dans le secret, abandonné limite et cloîtré pendant des années alors pourquoi aurais-je dû les soutenir hein ? ! Pourquoi ? ! Et enfin cela fit sourire grandement Anashi malgré qu'on puisses ressentir un stress général derrière elle. Ils avaient beau être de braves petits soldats ils ne semblaient pas très dangereux. Après tout ce ne devaient être que gentils toutou que commandait Anashi. Sans dire un mot elle me fit signe de les suivre. Je courais à l'étage me faisait une sorte de paquetage et les suivirent. Je quittais mon chez moi, mon enfance et mes entraves.

Les doutes et les obstacles

Les mois qui suivirent furent des plus douloureux éprouvant mais si vivifiant. À peine étais-je arrivé dans ce qui semblait être après des dizaines et des dizaines de jours de marches l'antre de Lionel, je fus roué de coup. Je ne savais pas si c'était une sorte de bizutage pour les nouveaux arrivants ou seulement un acte de brutalité, mais je me laissai faire. Y avait-il du masochisme pur en moi ? Sans doute, mais une chose était sûre j'allais bientôt rencontrer le Seigneur des indomptable, le seigneur sans pitié celui qui règne d'une poigne de fer sur les Asmaéens. Les regards, les rires et les chuchotements me firent très vite ressentir le fait d'être intrus. Je n'étais là que depuis quelques jours alors pourquoi aurais-je était apprécié ou intégré avec d'autre ? Je dû attendre encore une vingtaine de jour pour voir enfin ce seigneur tant redouté. Je cherchais Anashi du regard, mais elle n'était plus ni son « escorte » de gentil chiens obéissant. Je soupirais haussait les épaules et regarda l'homme. Il avait l'air assez âgé, mais une énergie une force et surtout une grandeur d'âme se dégageaient de lui. Au contraire d'Anashi il ne semblait pas avoir connu la douceur et donc ne devait pas en user souvent. Tournant ma tête je constatais que j'étais le seul... oui le seul encore debout. Qu'ils soient jeunes vieux, homme ou femme tous était agenouillé. Je compris que je devais faire de même, mais hélas le seigneur m'avait déjà repéré.

« Toi ! Oui toi jeune insolent qui se pense plus fort que tous, qui me prend de haut avec ton arrogance je t'ordonne de venir face à moi. ! »

Pour la première fois de ma vie je me sentais apeuré. Mais une peur incomparable à celle que j'aurais dû vivre face à l'ogre. Je n'étais hélas pas face à une créature idiote verdâtre et brutale, non j'étais face à un roi impartial et dont la force n'avait d'égale que le respect qu'on lui devait. Je déglutissais mais n'osait même pas bouger. Sauf que plusieurs personnes me poussèrent jusqu'à ce que je sois à quelques mètres de Lionel. Descendant avec un grognement de rage les escaliers il tourna autour de moi en m'assenant de temps en temps des tapes forte sur la nuque le front ou le thorax. Il n'était vraiment pas bon de sous-estimer. Je reculais de plusieurs centimètres quand il me frappait, mais je n'ouvrais pas la bouche pour autant. Il me toisait de son regard inquisiteur et dit alors.

« Ne pas prendre connaissance des règles ici fut ta première erreur saches-le. La seconde est de te croire plus fort que tu ne l'es. J'ai eu vent de ton petit exploit involontaire dans ta jeunesse et je sais que tu veux en démordre avec les autres lâches que sont les Esaens, mais tu n'as encore rien vécu de ce qu'est un membre des Asmaéens. Tu vas devoir prouver maintes fois que tu mérites d'être des nôtres maintenant sort de ma vue avant que je n'ordonne qu'on te fracasse sur des rochers ! »

Je fis le chemin inverse bien plus rapidement sans l'aide des autres la tête basse et surtout inquiet. J'avais fait ma tête brulé et j'avais rencontré un mur imprenable nommé Lionel. Il méritait bien sa réputation et tout le respect qu'on lui donnait. Il n'était pas seulement imposant, il était aussi intimidant brutal et insondable. Si je voulais survivre ici je devais rapidement me reprendre avant de finir comme il m'avait averti six pieds sous terre.

Le feu fit un jour son apparition dans ma vie. Alors que j'affrontais comme chaque jour dix de mes camarades à la suite en subissant les coups et sans savoir si j'arriverais un jour à battre les dix je mis le feu à l'un d'eux. Je me reculais en le voyant se rouler sur le sol en criant pour éteindre les flammes. Je fus alors emmenais sans un mot vers une étrange tente. J'apercevais alors une personne encapuchonnée et qui me dit d'entrer. Elle m'examina sous toutes les coutures. Devoir être nu face à une personne dont on ignorait jusqu'à l'identité n'avait rien, mais alors rien d'agréable. J'aurais préféré me faire torturer par un ogre puant que de subir cela de façon quotidienne. Heureusement pour moi après plusieurs heures je pus ressortir. J'avais entendu d'elle qu'un mot : Feu. L'incident qui avait eu lieu ce jour-ci, se reproduisit encore deux fois avant que je puisse enfin avoir une réponse de cette personne encapuchonnée et si secrète. Retirant sa capuche je pus voir une femme aux cheveux aussi rouge que les flammes d'un volcan et au visage agressif.

« Tu sais quoi mon beau tu contrôles le feu et pas qu'un peu enfin heureusement pour nous tous tu n'es qu'un niveau un et je préfère ça. Je vais devoir informer Lionel qu'on doit te changer de groupe sinon à la fin de la semaine il n'y aura plus de personnes à l'infirmerie que de non brulé dans le camp. »

Son sourire me laissait penser qu'elle avait dit la fin de la phrase avait humour mais j'avais tout de même un doute. Son « mon beau » avait eu un étrange effet sur moi, mais passons. À partir de maintenant j'allais être avec d'autres, mais pourquoi ? Simplement à cause de mon don ? Bien vite j'eus la réponse à ma question. Je me retrouvais avec d'autres Asmaéens aux pouvoir étonnant, l'un se téléportait à volonté n'importe où, une autre déclenchait le vent d'un claquement de doigt et enfin un autre se métamorphosait en animal. Après qu'ils m'avaient chacun montré leur capacité, me concentrant je fermai ma main et fit semblant de claquer une balle sur le sol. À la seule différence qu'au lieu d'une balle se fut une boule de feu de la taille d'un orange qui s'écrasa sur le sol en fumant. Ils se reculèrent tous étonné mais aussi impressionné. Si pour me faire un nom je devais jouer de mes dons alors je le ferais. Je continuais chaque jour de m'entraîner réduisant les cibles de pailles et de bois de base utilisé par les archers en cendre. Un jour l'étrange femme qui m'avait examiné amena sur notre coin d'entrainement d'étrange cercle métallique et nous dit légèrement dans le brouillard en baillant.

« Voilà*baille* voilà de nouvelles cibles pour les pratiquants du feu comme Lewis ça éviteras de devoir refaire des cibles pour les archers tous les jours.. »

Je me mis à rire comme les autres à sa réflexion et observa la demoiselle partir.

"La flamme brûlera encore et toujours avec férocité"

Depuis cela fait quelques années que je suis partis de ce camp. Je n'ai jamais plu défié Lionel l'impitoyable ni recroisé Anashi c'est bien dommage. Pour les deux c'est bien dommage à vrai dire. Au jour d'aujourd'hui mon niveau de contrôle du feu n'a pas hélas augmenté. Je le maitrise mieux, mais je ne peux tout de même pas encore faire de choses impressionnante. À vrai dire être entouré de tant d'impitoyable de gens agressifs de brute m'a rendu comme eux. Plus aucun douceur je veux obtenir comme les autres du clan Asmaes les amulettes et si je dois tuer des Eseas je n'aurais aucune pitié croyez-moi... le sang coulera la douleur sera là et si je dois répandre le sang de nombreux innocent pour mon Clan je n'aurais aucun remord à la faire...~



Pouvoir : Feu Niv 1: Il est capable de crée des flammes et quelques étincelles mais rien de bien violent et il les transfère dans ses chaussures et ses mitaines pour des coups enflammés.

Arme : Aucune mis à part ses mitaines et une dague.
Clan :Asmaén

Bienvenu à toi ! ça fait plaisir que tu sois venu ! Allez, finis moi cette fiche qu'on puisse se revoir en rp /pan/

Bon courage pour la suite

Elle est terminée ^^

Bon Bon Bon, voyons voir tout ça !

*fouine, farfouine, refarafouine, bouffe un morceau de steack qui traîne...*

Ah ! Voila ! Alors bon, il y à bien quelques défauts mais, il s'agit surtout de fautes d'inattention, donc pour une fiche aussi fournie et longue, je vais fermer un oeil la dessus, surtout que comme dit, c'est pas grand chose.

Donc voila, pour moi tu est Validé jeune padawan... je n'ai qu'une chose à dire: Que la chance soit avec toi !!!

A la prochaine sur un quelconque champ de bataille, peut être !