Juste Meriadec.

Nom : Le Batard d'une fille sans nom hérite de cette absence. Mais Colors fera très bien l'affaire si on me le demande.
Prénom : Meriadec
Race : demi elfe c'est sûr, Elfe je pense pas. M'enfin, ma mère était une elfe
Âge : 25 ans
Description Physique : De loin on me voit comme une silhouette assez robuste sans être imposante, la peau un peu noire juste métisse, ma mère était noir, les cheveux noir et long, on remarque surtout que des plumes et des perles colorées les ornes. On va dire ça comme ça, je suis plutôt beau, enfin, je trouve, faut juste aimer. Mon corps est plutôt musclé grâce au voyage, on devine très vite que je suis nomade et que j'ai passé de nombreuses nuits dehors. Ce qui fait ma beauté, enfin, ce sur quoi on me complimente sot mes yeux qui sont d'une couleur verte bleutée étrangement profonde, et mes cheveux, que j'ai déjà décrits. Une légère barbe noir me recouvre en permanence le menton pour continuer jusqu'en dessous des oreilles. Parfois même sur une bonne partie des joues et au dessus des lèvres, j'ai pas forcément le temps de me raser. De taille moyenne plutôt grand, mon corps n'inspire pas forcément la crainte. Ma voix est moyenne, mais plutôt belle, elle a été travaillée pour le chant et peut aussi bien monter dans les aiguës que descendre dans les graves sans gênes. Mon sourire ne dévoile pas mes dents, mais révèle une malice à toute épreuve, une fossette se dessine sur ma joue droite.

Mon oreille droite est percée trois fois, deux sur le cartilage du haut et une fois au dessus du lobe. Mon oreille gauche elle se contente d'un anneau. Mon bras gauche est doté de nombreux bracelets en ivoire, en os, en bois, métal, végétaux, tissu.... Mon poignet droit droit possède lui un bracelet de cuir unique, sinon ce serait gênant pour pas mal de truc, sachant que je suis droitier. Je marche presque tout le temps pied nus et vaque dans la mesure du possible le torse nu, sur lequel pend d'ailleurs deux colliers, un de perles et un avec de nombreux pendentifs(si on y regarde de plus près il s'agit d'instruments de musique rétrécit que je peux agrandir à ma guise). Mes jambes sont quand à elles toujours habillées d'un sarouhel noir recouvert lui même d'une espèce de guenille verte foncée ressemblant à une jupe longue ornée d'un triskell blanc. Ces deux vêtements sont retenus par une ceinture de cuir brun.

J'ai toujours sur moi un sac à dos de toile contenant mes affaires personnelles tels que des vêtements, une couverture très chaude et pas trop volumineuse, de la corde et beaucoup de bouquins, ainsi qu'une gourde, une pipe et quelques babioles. Mon corps étant très endurants, mon bagage de me gêne autant dire jamais et une journée entière de marche vive est largement dans mes cordes. Je ne sais pas super bien me battre, mais je me débrouille, je sais faire quelques tours de passe passe avec un bâton, je vise plutôt bien à l'arc et si on me file une épée je sais à peut près me débrouiller. Non, ce qui fait que je suis encore en vie c'est surtout que je sais me débrouiller en pleine nature, je suis fin chasseur, je construits des abris rapidement et sais faire du feu avec trois fois rien. Je sais aussi naviguer, me repérer grâce aux étoiles, au soleil, je connais très bien la végétation et les animaux, monter et quelques trucs qui servent. Mes manière gestuelles et oratoires ne sont pas celles d'un vagabonds, je connais très bien ma langue et il s'agit là de mes atouts, je connais les manières à utiliser dans certains cas. Je parle en faisant des gestes, pas trop théâtralement non plus, mais ça reste quand même assez mouvementé. J'ai une odeur qui me suis partout, les gens me connaissant pense à moi quand elle vient à eux, cette odeur est celle du Monoï.
Description Mentale : Je suis d'un tempérament très lunatique, je passe d'une excitation festive monstre à un calme mélancolique hors du commun en quelques minutes, ce qui est souvent très énervant pour beaucoup de personnes. Je suis pourtant plutôt sage, et sait réagir en pensant aux conséquences pour la suite. Ma vie ne se résume que par la recherche de mon bonheur et la générosité ainsi que la compassion pour les autre. Mon bonheur passe par le voyage et par les plaisirs épicuriens, c'est à dire simples. La générosité et la compassion, qui font d'après moi l'amour de soi même(l'amour et le respect de son prochain fait son propre amour) passe par le partage et les contacts amicaux. La vie ne peut pas être stable pour moi, faute de quoi je m'ennuierait, ainsi donc je recherche aussi l'apprentissage et le dépassement de soi, c'est pour cela que très jeune je me suis trouvé une passion pour la musique, et pour ainsi dire, je suis devenu très bon dans ce domaine, je pratique beaucoup d'instruments, voir énormément d'instrument, mais surtout quelques cordes et des vents, la flûte traditionnelle, la guitare folk et la guitare de basse tessiture à quatre cordes, sont mes préféré avec l'instrument naturel de l'homme, la voix qui touche beaucoup de registres, la voix basse, baryton, ténor, voir contre ténor. Je suis plutôt du genre à aller vers les autres, donc extraverti, et, à vrai dire, j'ai beaucoup d'amis et de connaissances à travers le monde. J'aime la nature, surtout la mer et les forêt et je passe souvent de longues heures à observer celle ci. J'aime aussi beaucoup lire et écrire que ce soit musique ou littérature. Je m'intéresse aussi aux sciences et j'adore desceller quelques mystères par moi même.
Histoire : Tout commença il y a quelques années sur l'île de Nimmeï, et pas dans le quartier le plus riche du port, mais celui où les rues sont salles, et où il ne se passe pas que des choses très clair, une femme s'appelait Tara, juste Tara, c'était une elfe noir de peau originaire des bois d'Ero, du pays du soleil, près de Solam, mais celle ci avait été perdue, abandonnée ou enlevé dans ses premières années sur l'île centrale. Que peut devenir une fille sans parents, sans argent et sans titre avec juste la beauté de son peuple qui lui a été léguée? Oui, elle devint ce qu'on appelle une fille publique, elle se prostitua pour gagner sa vie, et c'est d'une de ces unions que je naquit.

Et je vécut donc sans père, sans connaître vraiment mes origines, bercé dans l'école de la rue, je trainait sur les quais, car j'aimais regarder les barques et les galiotes qui rentraient avec la marée, les patrons de l'île étaient les seuls à connaître les passes de la haute mer du sud, et je restait là à regarder les hommes décharger les barriques pleines de poissons. Il y avait un armateur, un bourgeois, mais pas comme les autres, celui ci aimait le peuple de Nimmeï, il rendait souvent visite aux gens et était généreux, il me semble qu'il m'aimait bien à ce moment, et je me rappelle qu'il lui arrivait de m'ébouriffer les cheveux quand je passai dans les environs et que je me disait en me retournant, que c'était peut être lui mon père. Et je grandit dans cette environnement où j'appris mes nœuds par cœur, les voiles utilisées, à reconnaitre les bateauxcar j'avais la chance d'être un garçon et, si la maladie ne m'emportait pas, de devenir mousse, enfin, ça n'arriva pas, et tant mieux.

Bref, il advint que la maladie emporta ma mère alors que j'avais 8 ans. Comment je survécu? Devinez. L'armateur, je ne sais pas pourquoi, et je ne saurait jamais, me recueillit, et m'éduqua, il m'apprit la langue, l'économie, l'écriture, les mathématique, l'histoire, la politique, la géographie, la culture générale, et surtout la musique, qui devint pour moi une véritable passion. C'est ainsi que naquit la deuxième éducation dont je su tirer profit. Même si je fut fortement affecter par la mort de ma mère et que l'armateur me traitait plus comme un orphelin qu'il se doit d'aider plutôt que comme un fils, je sut tirer un trait sur le passé une première fois. Je dis première fois car la deuxième ne tarda pas, lors de mes quinze ans, alors que l'adolescence tombait sur moi et que je commençais à faire mes premières délinquances, et parrallèlement mes premiers ébats auprès des filles, l'armateur voulut m'envoyer étudier la médecine je ne sais où sur je ne sais quel continent, et, étant à ce moment là dans l'âge de la bêtise, je refusait. Il n'y entendit goutte et m'envoya à Solam chez un ami médecin à lui pour y commencer mes études, je ne le vit même pas. A peine débarqué sur le continent, je m'enfuis, non pas pleurant et courant comme l'on pourrait le croire, juste désinvolte et déterminé.

Je connut à partir de ce jour mes premier moments d'errance, je me fit quelques amis près de la ville touristique et passa pas mal de bon temps, et c'est sur les plages près des bois que j'appris ce que je sais aujourd'hui, c'est à dire me débrouiller, chasser, m'abriter, me repérer... Tout ça en bonne compagnie de quelques garçons de mon âge qui avaient grandis comme ça, à cette époque lorsque j'avais à peut près 18ans, un vieux noir m'apprenait la musique, à la pratiquer, mais surtout à la ressentir, dans chaque muscles, chaque veines, et chaque parties de mon corps, nous entremêlions le soir sur la plage devant un feu, nos voix dans des accords et entrions dans une sorte de transe. Ce fut surement les années les lus agréables de ma vie, juste la mer, le sable, les arbre, un hamac, une guitare et des amis autour du feu en chantant du "blues" de nos voix fredonnantes, c'était leur musique, et elle devint la mienne, car je devint un des leurs, on ne voyait aucune différence entre moi et eux, nous nous comportions de la même façon sur notre plage et ma peau était de la même couleur qu'eux. La soif de nouveau me pris vers 21 ans, et je décida de partir, le vieux nègre(hrp: j'utilise ici nègre dans l'effet de style blues/Be Bop, on appelaient ainsi durant cette époque les noirs et ils s'appelaient ainsi aussi.) fut fort satisfait de ma décision et semblait se revoir, jeune, en moi, il me légua donc un étrange collier où pendait des instruments miniatures, il m'expliqua qu'un mage lui avait légué et que tout les instruments s'agrandissait, et qu'il s'agissait là de tout ses biens. Je lui donna donc mon unique guitare, car sans musique, je savait qu'il ne pourrait vivre. Il me sourit, et on se prit l'épaule l'un et l'autre et il me dit avec une force chaleureuse:

"Savoure là cette vie, et revient me voir, j'ai encore quelques années devant moi, alors revient me voir quand tu auras grandit, je serait toujours là."

Et je me retrouvait encore sur la route.
Pouvoir : Terre: J'utilise la flore, ce qui me permet notament de faire pousser toute sortes de plantes, qui dit plante dit vie.
===>Niveau Gros mage de la mort qui tue tout le monde, c'est pas trop mon truc, je sais faire pousser un truc rapidement, mais trois fois rien.
Arme : Je possède un bâton sculpté de dessins de tous son long racontant une contine à morale, c'est long à raconter mais en clair ça raconte pourquoi je suis nomade il y a des feuilles en haut et un pic en dessous, pas pour servir de javelot, mais juste au cas où, il me sert aussi bien de défense que de bâton de marche. Un carquoi à ma ceinture contient quelques flèches dont l'empennage est fait de plumes d'oies et un arc sur lequel sont peints en rouge et en vert des plantes et des oiseaux, il me sert surtout à la chasse, mais ne sait on jamais. Je possède aussi un couteau au manche de bois dont la lame est repliable, je m'en sert un peu pour tout.
===>Niveau maîtrise des armes je ne me surpasse pas non plus, j'ai mes bases en escrime et au tir à l'arc et j'ai appris quelques bons tours de passe passe au bâton, c'est d'ailleurs plus sur ce dernier que je parirai ma survie. Mais outre deux ou trois bandits improvisés je pourrais pas me défendre contre grand chose.
Clan : Elven, mais possibilité d'endoctrinage, j'ai l'habitude de dire "si j'était obligé de choisir, bien sûr je choisirai Esea, mais je nele suis pas."

Le pouvoir si c'est comme tu a précisé à la fin, c'est ok.

L'histoire est originale ^^ Je ne sais pas si des elfes à la peau noire existe mais, pourquoi pas après tout. =)

Il y a juste un détail, il te faut un nom de famille, c'est précisé dans les règles ^^

Une fois que cela sera fait je pourrais te valider.

Ci fait. : )

Parfait, tu est donc validé Smile