Terres de Mereth
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 Miguel de Cëderana

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Miguel de Cëderana
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Miguel de Cëderana


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MessageSujet: Miguel de Cëderana    Miguel de Cëderana  Icon_minitimeDim 14 Nov - 15:46

Nom (en entier): Miguel-Amras Lianaël Maarzac De Cedërana

Nom (courant): Miguel De Cedërana


Race : Demi-Elfe

Si vous voulez en s'avoir plus sur cette race:


Spoiler:

Âge : 22 ans

Description Physique :

Un regard stoïque, impassible, inébranlable, étrange yeux d’un jaune lumineux, pupilles incertaines, qui, à la lumière du jour fondent vers un bleu pure tel l’océan. De même que ces mèches, châtains, qui à la lueur du jour, tressent doucement une chevelure blonde. Carrure musclé, noble, pausé, Miguel est maître de ces gestes, précision est l’art du guerrier. Il aime à porter un tranquille chemise d‘un blanc ivoire, qui à l’ouverture large dévoile son torse. Sa taille serré par une ceinture de cuir, pour couvrir ces jambes il porte des chausse, fines, tricotés en lin, et des bottes de cuirs aussi, remontent jusqu’à ces genoux. Il porte un kilt vert, avec comme seul insigne un dragon noir, symbole de son peuple. Pour recouvrir le tout, il aime porter un long manteau, et des gants sur ces mains. Il porte en bandoulière une sacoche qui contient toutes ces affaires de voyage ainsi que sa cornemuse.


Description Mentale :

Mélange harmonieux entre la rigueur physique Maarzac et de la rigueur de l’esprit du trappeur. Miguel croit en la connaissance tout comme il partage à ce panthéon une place égale pour ces ancêtres guerriers. Grâce à ces nombreux voyage, il ajoute un caractère forgé à une expérience déjà très grande de la vie, l’art de combattre à ainsi tout son sens. Il n’abandonnera jamais quoi que ce soit pour ces principes, ne fera jamais rien qu’il jugera déshonorent, il trouve en lui une paix intérieur, un havre qu’il cache aux autres. D’humeur souvent joviale, il aime la fête et profiter d’une bonne beuverie pour se laisser aller dans quelques airs de cornemuses.

Histoire :

Un ciel bleu azur, si tranquille, reflétait l’image triomphante de l’astre régnant: le soleil, douce ombre, douce image, de cette lumière translucide qui venait bercer les flots d’une rivière translucide et animé le vent qui repoussait l’herbe sur la plaine verdoyante. Les nuages au loin ne trouvaient refuge que dans d’immenses montagnes, savez-vous que l’on dit qu’elles ne sont que le fruit de la colère des dieux ? La fumée bénie de ma pipe se consume, si le temps n’est que brise, il n’est pas rare qu’en de tels moments, sous l’effet du nuage grisâtre qui s’échappe des herbes à fumer, je m’échappe bien loin dans mes pensées, au non il n’est pas rare que les temps qui ont forgés ce qu’aujourd’hui je suis reviennent à moi…

Ce regard grave, pesant, dure, Beren Amras Lianaël de Cëderana, mon père ne pouvait s’arrêter de me fixer depuis la petite barrière de boit qui encadrait l’enclos des entraînements, un geste, puis un autre, toujours dans la précision ultime, sous la tutelle de notre instructeurs, nous étions des dizaines de petits élèves ainsi, adroitement forgés dés l’âge de six ans. « L’épée est ton meilleur allier, la musique le savoir vivre, la connaissance ton pouvoir » chaque matin, en entrant dans l’enclos, qui formait, par journée de pluie comme de tempête, le lieu d’apprentissage, nous répétions ce cérémonial. Les élèves assis sur l’herbe, l’instructeur sur un tronc d’arbre. Tout environnement n’était que nature et pureté.

La vie de jeunes enfants tels ceux que nous étions, était animé par la venue mensuelle des marchands, eux seuls revenaient de l’extérieur, tous nous rêvions d’aller plus loin que ces plaines, devenir un grand aventurier. Certes, encré tels que nous étions, nous voulions devenir de puissants guerriers, mais la froideur des nôtres laissait parfois sceptique à un avenir de légende. Il y avait un Maarzac parmi les autres, qui lorsque j’eus atteint 10 ans, ne put que devenir un exemple, la volonté d’un rêve. On le surnommait « le trappeur ». Le trappeur n’était pas souvent là, partit au loin, toujours à l’aventure, il avait pour habitude de toujours se vêtir d’un long manteau brun, de gants et de bottes de cuir, et de laisser pendre à sa ceinture sa puissante épée. Il avait parcourut maintes terres, l’on racontait qu’il avait déjà défié la Salamandre du col de Enak, détrôner la vouivre de Glëne, ou encore abattu le plus gros Tréant de Dëne. Seul, puissant guerrier qu’il était, parcourait les plaines lointaines, pour revenir cher nous, prendre quelques bons temps en la compagnie de ces frères et de jolies jeunes femmes vite alléchées par le personnage.

Le trappeur s’appelait en réalité Col Wesson, l’on raconte que très jeune déjà il avait un caractère dominateur et puissant, prédestiné à être un futur Maarzon par les anciens, pourtant il n’en fut rien, préférant le monde à la guerre, il créa seul ces propres exploits jusqu’à ce que même les arbres chantent son nom et que, lorsqu’il plantait son épée dans les feuillages, même les roseaux s’écartaient. Quand il était là, dés l’aube, il ne pouvait y avoir doute, le doux son de sa cornemuse enchantait nos plaines, annonçant l’arrivée du héros qu’il était. Épris entre un profond sentiment de jalousie et de respect, je décidais de devenir le meilleur en toute chose que m’offrait la vie, de savoir tout mieux et de tout faire mieux.

Les années passèrent, je n’étais pas le seul à vouloir prétendre aux honneurs de la gloire, à 15 ans, j’inventais mes propres bottes à l’épée, ne me satisfaisait jamais d’un geste imparfait, m’autorisait à inclure une grande agilité dans chaque mouvement… Mais pourtant, cela ne suffisait pas, insatisfait à jamais, mon esprit ne trouvait refuge qu’en la beauté de quelques femmes et la douceur de mon herbe à pipe. Je n’étais malheureusement pas un génie des combats, loin d’en être inné, il y avait toujours quelqu’un au dessus de moi, plus fort, né ainsi, qui ne pouvait qu’alimenter mon sentiment de désarroi. Mon père, indifférent ne me laissait jamais le moindre sentiment d’encouragement, de défense ou d’aide, et me refusait le refuge d’une mère perdue trop tôt. A mon tour je trouvais alors un sens à la musique, la cornemuse, cet instrument tellement en vogue dans mon village devenait mon instrument de thérapie, je jouais alors, sans pouvoir m’arrêter, jours et nuit, la fumée de ma pipe me donnait me prenait le souffle, ma cornemuse me le rendait.

Tranquille journée de printemps, 17 piges, il était temps pour moi de trouver refuge dans mes idées. Un sac en bandoulière remplit d’affaires de survie, mon kilt favoris, quelques peaux de bête pour me tenir chaud, à ma ceinture mon glaive, dans mon dos un arc et un carquois, et pour finir, à la main, je tenais, enrobé dans un drap, la puissante épée des Cëderana, dérobé à mon père une heure plus tôt. Cette lame était forgé pour mon sang, si je voulais parcourir des aventures, je ne pouvais que m’accorder la fierté de mes couleurs familiales.
Tout avait été planifié, le trappeur était parmi nous à ce moment précis, et il allait partir dans l’heure qui venait, j’avais besoin d’un maître, j’avais besoin de lui. Ce matin là, je ne mettais pas montré de la journée, caché au loin dans une grotte depuis l’aube, je guettais l’unique chemin sur la sortie du village, mon unique chance de partir. Les minutes passèrent, et je bouillonnais dans mon impatience, aurait-il put prendre une autre route ? Je n’aurais pus me le pardonner ! Manquer son destin à si peu de choses…

Enfin, la délivrance, dos au soleil, toujours aussi grand, droit, de la prestance et de la noblesse dans le regard, le trappeur vint à passer, tenant sa monture prêt de lui, d’un pas calme et pausé. C’est ainsi que je débutais ma marche, je ne le traquais pas, je ne tenais pas à me cacher, où quoi que ce soit, je me mis à le suivre, tout simplement. Les heures passèrent, je les comblais tranquillement la pipe à la bouche. Si il s’avait que j’étais là ? Sans doute ! Mais il ne s’y intéressait pas pour le moment… Je ne voulais pas attirer son attention, il ne pouvait y avoir qu’une seule rencontre, et ce moment viendrait de lui-même.

Quand il s’arrêtait, je prenais une pause, un peu plus loin, et je reprenais la route avec la même distance qu’au départ. Ce jeu dura toute une journée, jusqu’à que mes mollets crient douleurs après la dureté de suivre le pas d’un tel être. Mais mon heure arriva… La nuit tombait, nous traversions tout juste une petite clairière, longeant quelques collines, mais soudain, avant d’enjamber le buisson qui suivait, le trappeur s’arrêta, lentement il tourna sa tête vers moi, son regard sombre ne pouvait que parler pour lui.

Il tourna subitement les talons, et me fit face, tout était clair, je laissais tomber au sol mon sac en bandoulière, décrochais mon glaive, soulevais le drap qui recouvrait l’épée familiale, puis enfin, je la sortais de son fourreau. Lui restait là, inflexible, patient et sage, je tentais de lui répondre d’un regard assuré pour ne pas montrer que je perdais mes moyens. Voilà comment l’on réglait un problème cher les Maarzacs, si je voulais être son apprenti, il fallait que je prouves mes talents, et tout allait commencer ainsi.

Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite, au loin je sentais monter en moi cette énergie, ce son de cornemuse implacable si soutenu, cri de guerre véritable. Mon corps ne tremblait plus, je faisais face, l’âme de mes ancêtres parcourait mes mains et suivait les fentes de mon corps. Je tendis mon bras droit, possesseur de l’arme vers le ciel, et, soudainement poussais un puissant cri de rage, et ainsi fonçais sur le trappeur. Lui n’était qu’impassible, n’avait même pas dégainer son arme. J’atteignais enfin sa distance, tant pis pour lui s’il refusait de se défendre, je tendais le bras et l’abattais de toute mes forces… mais avant que je pus me rendre compte de quoi que ce soit, j’étais au sol. Lui étais derrière moi, calme, l’arme au point, finement tendu vers l’horizon. Comment avait-il put faire ça ? Il avait contré mon attaque, puis m’avait donné un coup, mais à qu’elle vitesse ?

Je reprenais à nouveau mon souffle, me soulevais, et de tout mon poids repartais à la charge, cette fois je pus voir la parade, il me contra une première fois, je me mis à jouer des talons pour ne pas perdre équilibre, tourner finement le poignet pour retenter un coup, mais il avait déjà ramener sa lame prêt de son torse, repoussait mon coup d’un geste vif, me donnait un premier coup de poing dans le nez, puis un coup de pieds dans le ventre, avant qu’il exécute un fin saut périlleux en prenant soin de me piétiné la face dans son mouvement. Je m’écroulais à nouveau, et cette fois en sang, mais la rage qui coulait dans mes veines était trop profonde, trop puissante, trop pure, pour se laisser arrêter ainsi. Une fois encore je repartais, pour retomber encore et toujours, en plus mauvais point qu’avant, mais jamais je ne baissais les bras…

Milles ans passèrent, ou une heure, je ne sais plus, et enfin, mon corps lâchait avant mon esprit, je tombais à la renverse entre sonner et mort. Perdu dans le tourbillon de mes pensées, je parcourais milles et une bataille avant de revenir à la réalité… Mes pupilles s’ouvraient, j’étais dans une clairière, un feu de camps me faisait face, puis enfin le trappeur, qui me tendais un bol en bois avec dedans quelques bons morceaux de sanglier.

- Mange petit !

Sa voix, enfin je l’entendais, roque dure, autoritaire, comme je ne pouvais que l’imaginer.

- Ne perdons pas de temps ici, nous sommes sur le territoire des dégénérés armés, et bien qu’une dizaine n‘en vaudra pas le manche de ma lame, il ne manqueront jamais de courage pour se ramener en bande jusqu’à nous étouffer…

Et c’est sur mes mots que ma vie d’aventurier débuta, un ordre s’installa bien vite, l’entraînement du matin consistant en un divers parcours de musculation, la marche qui la suivait, le repas du midi, qui aussitôt fini enchaînait sur une longue marche à nouveau, et ainsi la journée se terminait sur un duel à l’épée, un apprentissage sur la manière de se tenir, de porter le coup, de frôler, de toucher, et d’éviter. Les jours passaient bien vite, le trappeur disait que chaque choses avaient leur temps, et ne voulait pas que j’affronte un monstre avant que j’en sois réellement prêt, même le plus infime qui soit. Nos entraînements étaient rythmé par les lieux où nous nous trouvons, prêt d’un lac, séance de natation, j’appris ainsi à nager… prêt d’une forêt, séance de parcours athlétique, prêt d’une montagne, escalade… Cela se continuait ainsi, sans raison particulière, j’étais juste tout simplement, sans le moindre pacte autre que cette première journée de duel, son apprenti.

Parfois, nos soirées pouvaient être bercés par un échange musicale entre nos deux cornemuses, nous étions alors parfois rejoint par des feux follets, prêt du trappeur, ils prenaient toujours la forme d’une femme, des plus belle et noble qu’il soit, sans doute une elfe de sang pure, lorsque l’on sait qu’ils ont pour habitude de prendre la forme de nos songes, cela rajoutait un peu de romanesque à l’histoire de cet être si mystérieux qu’était Col Wesson. Lorsque j’atteignis ma vingtième année, cela faisait déjà trois ans que j’errais auprès du trappeur, nous nous étions bien habitué à ce mode de vie, mais avoir 20 ans cher les Maarzacs n’était que trop important, nous décidâmes donc de retourner au village fêter l’événement. Apprenti du trappeur valait beaucoup de succès auprès des jeunes femmes, je ne pouvais que m’en réjouir, mon père était fière de moi, pour la première fois je crois, il ne m’en voulait pas d’être partit si tôt, et d’avoir prit l’épée de notre famille, cher les Maarzacs seul la force et le courage comptaient.

C’est ainsi donc, que durant ce petit séjour, je me construisis mon armure officielle de Maarzac, symbole du guerrier ultime, du soldat prêt à la guerre. Mais le lendemain à peine, je repartais à l’aventure, laissant derrière moi ma nouvelle peau de combat, dans l’optique de venir un jour la rechercher, à mon retour, pour enfin accomplir mon destin. Ces deux dernières années furent celles qui me forgèrent le plus, j’appris la sagesse, la méditation, la chasse, le fait de tirer juste. Un nouveau sens se développait cher moi, j’avais en moi le don naturel de « l’âme bestiale ». Col m’aidait ainsi à m’en servir, il disait que c’était la « magie du trappeur », il possédait lui aussi ce don, les Maarzacs possédaient plutôt généralement un pouvoir élémentaire. Désormais, je en perdais plus dans un duel contre le trappeur, nos joutes devenaient interminables, j’avais enfin acquis la souplesse, la dextérité et la puissance, je savais me servir de chaque botte et de chaque coup avec une grande précision. Chaque matin je répète encore les mêmes mouvements, puissance et précision sont mes alliers, je lève mon talon, avance, recule, joue de mon poignet dans le mouvement, le tout à une vitesse de plus en plus grande. J’ai déjà vaincu quelques monstres, je sais que bientôt je pourrais voler de mes propres ailes, mais il me faut revenir à la réalité, la guerre devient pressente, il nous faut agir, bientôt nous allons atteindre Ellone, tout s’y décidera.

Pouvoir :

Âme bestiale

Arme :

Il porte toujours à sa ceinture la précieuse épée familiale des Cëderana, cette arme à la particularité d’être en réalité un fin katana, plutôt rare par sa finesse de construction et sa dureté. Sur la lame est dessiné un dragon noir. Sur son dos retenu par une sangle repose un carquois large, il permet de pauser à la fois bon nombre de flèche mais aussi de ranger un long arc elfique.

Clan :

Eséa


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MessageSujet: Re: Miguel de Cëderana    Miguel de Cëderana  Icon_minitimeDim 14 Nov - 20:07

Ta fiche n'est pas mal dans l'ensemble mais la précision sur la race est un peu...spéciale ?
En résumé, ça ne cadre pas avec le forum, tu nous sors un truc du chapeau, c'est même pas dans l'histoire.
Tu peux jouer un mi-elfe, mi-humain, ça n'est pas un soucis, mais le spoiler est hors sujet.
Voilà, le reste me semble bon, tu n'as plus qu'à attendre le passage d'un admin =)
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MessageSujet: Re: Miguel de Cëderana    Miguel de Cëderana  Icon_minitimeDim 14 Nov - 20:18

Merci merci euh, faute de temps je me suis pas foule ce n est pas faux, et oui pour mon spoiler je me suis ptet laisse un peu aller, j'avais envie de faire parti d'une tribu et comme je savais pas trop d'ou venir... J'ai crus bon de creer ca de toute piece, si ca colle pas ou que oui c'est trop eloigner bah ouai pas de soucos je vais foutre ca a la porte (juse par precision ca ne vient pas d'un autre fow c'est moi qui est cru bon d'imaginer ce clan pour mon hostoire ici ^^)
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MessageSujet: Re: Miguel de Cëderana    Miguel de Cëderana  Icon_minitimeDim 14 Nov - 20:21

Pas de soucis mais fais au plus simple.
Tu pourras détailler l'histoire du clan en rp, ne t'en fais pas ^^
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Tyris Eldamar
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MessageSujet: Re: Miguel de Cëderana    Miguel de Cëderana  Icon_minitimeLun 15 Nov - 2:15

Rien à ajouter, la race est en effet pas intégrable à Mereth.

Tu peux être demi elfe sans problème, les humains et les elfes vivent toujours ensemble Wink

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MessageSujet: Re: Miguel de Cëderana    Miguel de Cëderana  Icon_minitime

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